des opéras

édito des opéras

des opéras

 

POUR UNE POROSITE ENTRE LES CHAMPS ET LES PRATIQUES, VERS DES FORMES MULTI-MEDIA.

 

Ecce Voce

ou créer des opéras obtus pour faire résonner le grain des corps et des voix.
Un tissage brut et subtil de mots, de sons, de signes, de gestes, de mouvements, d'images, en symbiose avec un lieu.

La nuit suspendue

opéra obtus
1986

 

pour haute-contre, mezzosoprano, ensemble vocal (2 soprani, un ténor, un baryton, une basse), des percussions, une clarinette et une contrebasse et 3 danseuses

inspiré de L'espace littéraire de Maurice Blanchot.

 

  • La nuit suspendue

    image : Maryse Bernatet

  • La nuit suspendue

    image : Maryse Bernatet

  • La nuit suspendue

    image : Maryse Bernatet

  • La nuit suspendue

    image : Maryse Bernatet

1986
Institution d'intervention
  • Théâtre municipal de Clermont-Ferrand
avec
  • mise en scène, chorégraphie et scénographie : Catherine Contour, création et direction musicale : Marc Laurette, scénario : Jean-François Lanord, costumes : Catherine Suchel, lumière : Anne Burgeot, construction : Daniel Chometon et Philippe Liégeois
  • interprètes : Emmanuelle Bloy, Christine Burgos, Catherine Contour (danse), Edouard Audouy (haute-contre), Elizabeth Lagneau (mezzosoprano), un ensemble vocal (2 soprani, un ténor, un baryton, une basse), des percussions, une clarinette et une contrebasse
Partenaires
  • association Ecce Voce
  • Théâtre municipal de Clermont-Ferrand
Ville
  • Clermont-Ferrand
Pays
  • France

Prémisses d'un amour fatal

opéra obtus
1987

 

pour 5 acteurs-chanteurs et 5 danseurs

sur le 1er Quatuor à cordes de György Ligeti

d'après l'oeuvre de Rainer Maria Rilke.

  • Prémisses d'un amour fatal

    image : Maryse Bernatet

  • Prémisses d'un amour fatal

    image : Maryse Bernatet

  • Prémisses d'un amour fatal

    image : Maryse Bernatet

1987
Institution d'intervention
  • Studio du Moulin de la Pointe / Paris
avec
  • interprètes : Emmanuelle Bloy, Christine Burgos, Catherine COntour, Véronique Favarel, Marc François, Marie-Antoinette Giaramidaro, Carlos Osorio Sordelli, Jean-François Lanord, Daniel Rialet, Patricia Varnay
  • mise en scène, chorégraphie et scénographie : Catherine Contour, musique : György Ligeti, scénario : Jean-François Lanord, costumes : Aline Querengasser, maquillages : Chantal Bricault, lumières : Anne Burgeot
Partenaires
  • association Ecce Voce
  • association du Studio du Moulin de la Pointe
  • ANPE-spectacle/Paris.
Ville
  • paris
Pays
  • France

Le regard d'Orphée

opéra obtus
1987

 

opéra obtus pour haute-contre, mezzosoprano, percussions, clarinette, contrebasse, 2 acteurs et 4 danseuses.

inspiré des Métamorphoses d'Ovide.

  • Le regard d'Orphée

    photo : Maryse Bernatet

  • Le regard d'Orphée

    photo : Maryse Bernatet

  • Le regard d'Orphée

    photo : Maryse Bernatet

  • Le regard d'Orphée

    photo : Maryse Bernatet

  • Le regard d'Orphée

    photo : Bernard Dutheil

  • Le regard d'Orphée

    photo : Bernard Dutheil

  • Le regard d'Orphée

    photo : Maryse Bernatet

  • Le regard d'Orphée

    photo : Maryse Bernatet

  • Le regard d'Orphée

    photo : Maryse Bernatet

1987
Institution d'intervention
  • Chapelle St. Louis de la Salpêtrière / Paris - Cour Pétrarque / Montpellier
avec
  • mise en scène, chorégraphie et scénographie : Catherine Contour, création musicale : Marc Laurette, scénario : Jean-François Lanord, direction musicale : Philippe Hui, costumes : Aline Querengasser, maquillages : Chantal Bricault, lumières : Anne Burgeot
  • interprètes : Emmanuelle Bloy, Christine Burgos, Catherine Contour, Véronique Favarel (danse), Edouard Audouy (haute-contre), Marie-Laure Weill-Raynal (mezzosoprano), Marc François, Marie-Antoinette Giaramidaro (acteurs), percussions, clarinette et contre
Partenaires
  • association Ecce Voce
  • Festival International Montpellier-Danse
  • association des amis de la Salpêtrière
  • studio du Moulin de la Pointe
  • commande d’état qui a bénéficié de l’aide à la création/musiques d’aujourd’hui.
Ville
  • Paris - Montpellier
Pays
  • France

Ellipse 1/Le singe est mort

opéra obtus
1990

 

pour 2 quatuors (vocal et instrumental) soutenus par un dispositif électro-acoustique et 2 danseurs.

 

Ellipse 1

est un spectacle vivant qui a pour particularité d’organiser la lecture autour de 3 axes simultanément : le texte, la musique et l’image.

Opéra - partis-pris esthétiques par Daniel Tosi

Le parti-pris que j’ai adopté, attribue à la ligne vocale une couleur qui est celle des moments les plus chantés de l’opéra : mélodies vocales et vocalises. En outre, les voix chantées ont parfois une dimension purement musicale de type instrumental (dégagées du texte).

Dans la musique, des éléments tonaux, atonaux, métatonaux, en superposition ou en juxtaposition, se frottent à d’autres structures (parlées...), à des objets sonores mouvants, pour établir un dialogue construit autour d’axes polarisateurs, avec des sens multiples.

Composition mixte : acoustique/électro-acoustique

Chaque matériau musical composé est une « bulle » comprenant son propre développement interne, une entité, un ensemble fini, une sorte de molécule aux contours bien définis dont l’intérieur est constitué de micro-éléments choisis pour leur aspect évolutif, favorisant le développement en variations. L’agencement général de l’opéra et de chacune de ses séquences procède de la rencontre de ces éléments musicaux construits et autonomes.

Opéra obtus

Dans cet opéra éclaté, chaque moment musical respecte sa définition : le chant est un air accompagné, les musiques instrumentales sont climatiques, les musiques sur bande sont atmosphériques.

La composition musicale respecte intégralement le texte ; les divers éléments musicaux choisis s’organisent et s’articulent (se soudent) autour et à partir de la trame donnée par le scénario. Ceci permet notamment l’émergence de rapports que l’on rencontre plus particulièrement dans certaines oeuvres musicales composées pour le cinéma.

Opéra contemporain

Les lectures multiples qui surgissent au fil de l’écoute, ainsi que la pluralité des matériaux mis à l’oeuvre, traduisent une volonté de projeter l’opéra vers l’ouverture qui a toujours été la sienne : « champs étoilé où l’aimantation fait luire tel ou tel pôle vibratoire ».

 verture qui a toujours été la sienne : « champs étoilé où l’aimantation fait luire tel ou tel pôle vibratoire ».

  • Ellipse 1/Le singe est mort

  • Ellipse 1/Le singe est mort

  • Ellipse 1/Le singe est mort

  • Ellipse 1/Le singe est mort

  • Ellipse 1/Le singe est mort

  • Ellipse 1/Le singe est mort

  • Ellipse 1/Le singe est mort

1990
Institution d'intervention
  • Théâtre de la Bastille/Paris
avec
  • interprètes : Antoine Basler, Catherine Contour, Didier Galas, Marianne Pousseur, Stefan Singer, Michele Zini et un quatuor à cordes
  • mise en scène, chorégraphie et scénographie : Catherine Contour, création et direction musicale : Daniel Tosi, scénario : Jean-François Lanord, lumières : Anne Burgeot, films : Olivier Ulrich et J.-F. Lanord, stylisme : Yves Martinez
Partenaires
  • association Ecce Voce, théâtre de la Bastille, ADAMI
  • commande d’état qui a bénéficié de l’aide à la création/musiques d’aujourd’hui.
Ville
  • paris
Pays
  • France